« Etre journaliste et psychogénéalogiste cela n’est pas courant ! C’est vrai que cela suscite toujours une réaction »
Depuis un an, Marlène Piasco assure à Good Place des consultations en tant que psychogénéalogiste. Après plus de 20 ans passés dans les rédactions, plateaux de télé et autre agence de com, et une expérience significative dans l’animation de colloques et de séminaires, cette bretonne d’adoption se lance un nouveau défi. Proposer son expertise en tant que psychogénéalogiste.
« Journaliste, ça parle à tout le monde. Mais lorsque je parle de psychogénéalogie, c’est déjà beaucoup plus flou » avoue-t-elle. « Il s’agit d’aller rechercher dans l’arbre généalogique des évènements, secrets, chocs émotionnels qui seraient restés en suspend ou non acceptés par le clan et qui pourraient avoir des répercussions sur notre vie. Cela peut paraitre fou mais il a été prouvé par les neurosciences que les transmissions de mémoires s’opèrent aussi entre générations »
« En effet qu’on le veuille ou non, le clan familial fonctionne avec ses codes, ses valeurs ses règles non écrites qui peuvent conditionner nos choix et notre manière de penser. Sortir de ce mode de conduite « en automatique » est tout à fait possible dès lors qu’il y a une prise de conscience que ces liens invisibles existent. En repérant les répétions de situations, de dates, de prénoms ou encore de professions beaucoup de choses peuvent se dénouer ».
Et le journalisme dans tout ça ?
« Je continue dès que cela est possible ! C’est dans mon ADN. Aller à la rencontre de personnes qui ont une expertise, un talent, une histoire à raconter et leur donner une occasion de prendre la parole pour partager ce qu’ils sont et ce qu’ils font j’adore ça ! »
Mais quel est le point commun entre ces deux professions ?
« La rencontre et surtout l’écoute. Le fait de permettre aux personnes qui viennent me voir de se réaliser pleinement dans leur vie, libérées des conditionnements et du carcan familial est une réelle source de satisfaction C’est de la réparation de lien. Je trouve ça pas mal comme raison d’être ».
Consultation sur rendez-vous à Good Place
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